Le crédit bancaire est au cœur du mécanisme de création monétaire : le suivi de l'évolution du crédit bancaire est essentiel pour définir l'orientation et la conduite de la politique monétaire.
Taux de prêt de la banque en France
La Banque de France est une institution indépendante de droit français et européen, membre de l'Eurosystème, qui est le système fédéral composé de la Banque centrale européenne et des banques centrales nationales de la zone euro. Les taux d'intérêt des prêts à tempérament aux ménages et aux ISBLSM se rapportent aux nouveaux contrats, à taux fixes uniquement pour le Royaume-Uni, à tous les taux, pour la France et la zone euro. Les frais moyens sont obtenus en calculant la différence entre le taux de charge annuel et le taux effectif étroitement défini et aux nouveaux prêts personnels aux ménages. Les parts de marché des différents types de réseaux de distributeurs sont calculées en utilisant l'encours du crédit renouvelable aux particuliers. Les taux d’intérêt moyens par pays pour les prêts renouvelables et les découverts comprennent également les prêts sur cartes de crédit et couvrent les nouveaux prêts aux ménages.
Le crédit à la consommation continue de croître
L’encours total du credit en ligne immediat accordé aux particuliers comprend le risque des prêts titrisés. Outre les prêts personnels spécifiés ou non spécifiés, les découverts ordinaires et les prêts renouvelables, il comprend les prêts à tempérament, les contrats de location et les prêts sur cartes de crédit. Depuis décembre 2014, les ventes locatives et les prêts personnels à finalité spécifique sont regroupés. Ces montants sont ajustés pour tenir compte des variations saisonnières. Les ménages sont composés d'individus et de commerçants indépendants. Étant donné qu'il n'existe pas de données européennes uniquement sur les encours de prêts à des particuliers, la croissance de crédit est comparée sur la base des ménages.
A la dernière nouvelle, le déficit de financement des prêts bancaires accordés aux petites et moyennes entreprises (PME) dans la zone euro a été ramené de 6 % du PIB en 2015 à 3 % du PIB en 2019, d’où, le financement des entreprises est beaucoup plus diversifié entre crédit bancaire et financement de marché.